En tout cas l'entrée en matière, je parle du nouvel an, était plutot réussie! ^^ (heum heum) Oui je me souviens encore de cette bonne vieille route 66, et de cette liberté....*envie de salade?* hi hi

Donc eh ben, je n'ai pas énormément de choses à dire, si ce n'est que j'espère réobtenir le net chez moi bientot, car si j'arrive à poster tout de suite, c'est parce que je suis à Strasbourg. Et je dois avouer que ces petites convers bien sympas (voir parfois même l******* et d****** ^^) me manquent.

Je n'ai donc au final qu'une chose à rajouter : BONNE ANNEE , et bon courage pour la suite!

Ah oui, et merde au résolutions, completement "has been" comme ketru wak! nique sa'

tchou

The Cylons were created by man
They rebelled
They evolved
They look and feel Human

There are many copies

And they have a plan

Décidément il y a toujours à faire sur ce vaisseau... ça court dans tout les sens! Du haut commandement à l'atelier réparation, on arrète jamais. Il faut dire que l'avenir de l'humanité en dépend. 49506 humains à protéger, c'est pas rien! Surtout si c'est tout ce qu'il reste de cette race.
Le chef Tyrol et son équipe de techniciens se démènent tant bien que mal pour que les chasseurs Viper puisse voler, Les pilotes s'entrainent, (entre deux parties de poker, dont cette tete brulée de Starbuck est friante), Le professeur Gaius Baltar tente comme il peut de cacher son jeu et discute avec une Cylon que seul lui peut voir, Dualla reste à l'affut de toute attaque possible des Cylons, le capitaine Appolo prépare la prochaine mission, le colonel Tigh se bat avec ses dilemne psychologiques et sa bouteille de whyskie, le commandant Adama décide de ce qui est le meilleur pour la flotte civile, la présidente Roslin gère les conflits internes et politiques...et ce n'est pas encore tout... Bref des roles différents, mais un seul but! Trouver cet endroit mythique, que personne ne connait, et que l'on nomme la Terre. Seul refuge après l'attaque nucléaire des Cylons sur les 13 colonies et la fuite desespéré des humains. Les seigneurs de Kobole, si loués soient ils, n'ont put hélas éviter ça...
Ces machines ont trouvés la faille de leurs créateurs, et traquent à présent le reste de ce qu'il reste de l'humanité...cette flotte de vaisseau dont l'espoir vacille de long en large à longueur de temps, possédant un seul battlestar pour les défendre, mais possédant aussi cette lueur...cette envie de survivre...
Enfin madame suspicion est aussi de la partie, car manque de chance, les Cylons ont à présent l'apparence des humains, et sont susceptibles d'etre infiltrés dans la flotte...

Entre dilmenes psychologique et conflits politiques...Entre relations internes et batailles spaciales...Entre manipulations et confiance....Entre un désir de paix et une guerre sanglante, La série Battlestar Galactica nous fait vivre et ressentir l'exode de toute une race, et montre la vision d'une poignée d'hommes et de femmes se battant pour l'avenir de cinquante milles personnes. Bien sur c'est de la science fiction, bien sur dans la réalité on est bien loin des déplacements et des combats dans l'espace, mais il y a tout de meme dans cette fiction un soucis de réalisme qui la rend très attrayante. On y croit completement! Contrairement aux autres séries de ce genre qui pourraient tomber dans un ridicule repoussant, celle ci sait parfaitement conserver son sérieux. Un Western de l'espace digne de ce nom, comme on en avait pas fait depuis longtemps!

Un petit passage sur l'aspect technique. Tout d'abord le jeu des acteurs est génial! Les émotions sont parfaitement jouées, ils n'ent font pas de trop, et chacun colle très bien à son personnage...On aurait du mal à les voir ailleur que dans ces roles. Car j'avoue que dés le début, j'ai eu du mal à accrocher. En effet des le pilote (de 3h!) on est immédiatement plongé dans la vie de chacun, sans explication ni rien, et on se sent perdu. Mais au fur et à mesure on apprend à les connaitre, et on découvre le charisme de chacun et tout ce qu'ils ont à apporter. Bref du pur plaisir!
Puis niveau effets spéciaux et cascades spatiales, on est très bien servit aussi! Les images de syntheses se fondent completement dans le reste, et on ne fait pas la différence. De plus il y a une fluidité completement jouissive dans les combats spatiaux. Les figures exécutés par les Viper ou les vaisseaux Cylons sont epoustouflante. Tout semble "glisser" à merveille...c'est difficile à décrire, il faut le voir pour comprendre.De plus les design sons tres sympa et on se rend bien compte que les chasseur ne sont pas du tout soumis au meme contrainte de mouvement dans l'espace que dans le ciel d'une planete.
Enfin , j'ai gardé le meilleur pour la fin, La Bande Originale! La on comprend parfaitement l'expression "Space Opera". Ici les percussions sont à l'honneur, surtout lors des combats dans l'espace. Les tambours et grosses caisses permettent d'encore mieux s'intégrer au combat et de le vivre. On est épargné des gros bruits de canons et d'explosions, qui sont ici au dernier plan, pour laisser place à un rythme divinement opressant. En dehors des combats, la BO est plutot strange par moment, et tres mélodique par d'autre. Entre violon et cornemuse, en passant par de la flute certaine fois...Ou encore des chants celtiques qui donnent une réelle impression de grandeur... Que du bonheur...


Cette série nous fait tanguer entre joie, tristesse, haine et envie, fait énormément réfléchir, et chaque épisode est un véritable moment de planage intensif. Je la recommande à tous les fan de SF, car elle est pour moi la plus aboutie dans son genre.

...Dieu a un plan pour chacun d'entre nous...

Qu'est-ce qu'il nous restera? - Pleymo

Qu'est ce qu'il nous restera...
Quand on aura coupé nos cheveux
Qu'on sera devenu vieux...
Qu'est-ce qu'il nous restera...
à part des tâches sur les bras
Et la mélancolie amère d'un concert...
Qu'est-ce qu'il nous restera...
sinon des mondes anciens,
Au fond là-bas, dans la mémoire...
Des coupures des vieux journaux qui ne disent plus rien
Et la bohème qui nous allait si bien...



Qu'est-ce qu'il nous restera...
dans ces photos qui feront marrer nos gosses
"Oh papa, t'étais beau là"
Oui j'avais juste 20 ans, avec les autres on a construit un autel
A la gloire de ceux qui se sentent différents...
Qu'est-ce qu'il nous restera...
de nos vies d'artistes,
De ce succès qu'on a attendu jusqu'au rides
Qu'est ce qu'il nous restera...
quand vous penserez qu'on a tout dit
Parce que la musique passe, c'est comme la vie...

Moi, il me restera mon amour pour toi
Des souvenirs de vous et j'en pleure déjà
Alors je serre tes doigts
Je serre tes doigts
Je serre tes doigts
Mon amour

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Juste du bonheur...

...Et pendant ce temps la, Jack...

" Souviens toi...Souviens toi...de ce 5 de novembre 1604, de ses poudres et de sa conspiration...car à l'oublie je ne peux me résoudre" 

V comme victoire, V comme vie, V comme verbal, V comme vérité, et V comme voilée...
Voir enfin ce DVD dans les bacs de la fnac à failli faire derailler mon coeur la semaine derniere. Ni une ni deux, je cours au guichet et j'achete ce film que j'avais tant aimé au cinéma, et qui restera pour moi un des meilleur film que j'ai pu voir.
V pour Vendetta est une vraie merveille. Tant au niveau des idées qu'il transmet, qu'au niveau de la mise en scène et du jeu des acteurs.

Dans un futur assez proche, l'Angleterre est controlé par Adam Suttler, dictateur fasciste imposant à son pays une domination totalitaire.
V, homme idéaliste, rusé, sauvage, et aux envies de liberté, arborant un masque de Guy Fawkes (conspiration des poudres, 1604), auquel il voue un culte sans égal, et au passé chargé de troubles, a décidé de se lever contre ce pouvoir. Ses armes sont les mots, qu'il manie avec une perfection presque divine, son espoir inflechissable, et ses fideles dagues. Il n'a jamais pu oublier les evenements du 5 novembre 1604, et tiens absolument à les perpétrer, pour que les gens ouvrent enfin les yeux.
Evey, jeune femme travaillant dans les studios de la seule emission d'informations du pays, idéaliste elle aussi mais apeurée par ces pensées et envies, va croiser la route de V, et ce dernier va definitivement changer sa vie.
Enfin l'inspecteur Finch, chargé de traquer V, va lui aussi découvrir des choses auxquels il ne se serait jamais attendu, et ça vision des choses s'en trouvera également altérée.

Synopsis d'allociné :

Londres, au 21ème siècle...
Evey Hammond ne veut rien oublier de l'homme qui lui sauva la vie et lui permit de dominer ses peurs les plus lointaines. Mais il fut un temps où elle n'aspirait qu'à l'anonymat pour échapper à une police secrète omnipotente. Comme tous ses concitoyens, trop vite soumis, elle acceptait que son pays ait perdu son âme et se soit donné en masse au tyran Sutler et à ses partisans.
Une nuit, alors que deux "gardiens de l'ordre" s'apprêtaient à la violer dans une rue déserte, Evey vit surgir son libérateur. Et rien ne fut plus comme avant.
Son apprentissage commença quelques semaines plus tard sous la tutelle de "V". Evey ne connaîtrait jamais son nom et son passé, ne verrait jamais son visage atrocement brûlé et défiguré, mais elle deviendrait à la fois son unique disciple, sa seule amie et le seul amour d'une vie sans amour...

Ce qui fait la force de ce film sont pour moi les idées qu'il transmet, et surtout, leurs mode de transmission. Les répliques sont magnifiques (et c'est vraiment peu de le dire, on a parfois la respiration qui s'arrete, ne pouvant la reprendre que lorsque V a terminer sa tirade), le personnage principal, donc V, est très charismatique , et la réalisation est parfaite.
De plus il donne une assez bonne vision de ce que peut etre un régime totalitaire, et comment il peut rapidement s'établir en tant de crise.
Du pur spectacle et un fort message, ou plutot un conseil, qui est de ne jamais relaché son attention et de garder le plus souvent possible les yeux bien ouverts.

Enfin voila voila...Si vous pouvez le voir n'hesitez pas, il restera toujours pour moi un de mes films préférés. (Et je n'ai pas encore regardé les bonus, mais je sens déja les battement de mon coeur s'accélerer ^^)

Acteur et actrices : Hugo Weaving (V) , Nathalie Portman (Evey Hammond), Stephen Rea (Inspecteur Finch)
Realisation : James McTeigue

Bande Annonces:
Site officiel/Trailer

"...Maintenant tu n'as plus peur...Tu est totalement libre..."

"Celui qu'on néglige, assis vers le fond, à qui on inflige, de ne pas sortir un son. On se fout pas mal, de savoir d'où il vient. Est-il trop instable, qu'il n'a l'air de rien? Il étouffait, à rendre l'âme...Où étions nous? Il a tout fait pour nous dire son mal, Où étions nous?" -"Phantom"   PLEYMO

Hum alors la attention attention!

Lundi dernier sortait le dernier opus de mon groupe français préféré, les magnifiques, les brutaux, les barrés, les si réalistes PLEYMO. Sachant que je ne pouvais pas l'acheter le jour même, je prend mon mal en patience et j'attends DEUX longue et interminables journées ^^ Enfin mercredi, juste avant de m'enfiler à midi un mythique "presse chaud" de la place d'Erlon (3615), je me procure enfin cet album à la fnac, et soudain l'apres midi me parait tres longue d'avance ^^

ALPHABET PRISON, c'est son nom, et rien que l'artwork me parait déja fabuleuse. On y voit "Helmet Boy", le gamin du clip dans l'article précédent, qui est le centre du concept de cette galette. Pas de texte sur le devant de la jackette, juste une photo, et c'est en fait bien suffisant .

On comprend vite à l'écoute de cet album, que les themes principaux sont le manque de communication dont fait preuve notre société ("Galaxie Autarcique"), les afres de l'adolescences ('Un parfum nommé 16 ans"), les mauvaises décisions que l'on peut prendre lorsque l'on est un peu perdu, ou que l'on désire changer de vie ("Phantom" , "Adrénaline"), et l'affirmation de sa différence ("Vanité")...et peut etre aussi la mélancolie et la nostalgie de l'ancienne boheme des jours passés...

Bref de nouveaux themes qui montrent la maturité du groupe. Et celle ci se ressent aussi par l'évolution de leur style musicale. Et la c'est la claque dans la gueule! Le phrasé-rap revient, accordé à du chant et à des cris de Marc super bien calibrés et brutaux. J'ai dit qu'il y avait du chant? parce qu'en effet il y en a, certe un peu moins que dans l'album précédent, mais ce qu'il faut, et la voix du chanteur est de plus magnifique. Ces changements sec entres paroles criés et paroles chantés rendent cet opus plus vivant qu'aucun des précédent n'a jamais été. Et le phrasé-rap insolent dont seul Margiorri à la recette donne comme toujours à leurs chansons un effet irréel...énervé et sur de soi.
La basse de Benoit Julliard est toujours aussi parfaite et métallique, et toujours aussi présente. Elle donne cet aspect parfois "industriel" à Pleymo et est décidément toujours aussi énervée. Comme quoi il n'est pas toujours forcément la peine de slapper pour avoir une basse bourrine et envoutante.
Coté gratte, c'est toujours gras et mélodique, et le coté bourrin n'a pas été oublié la non plus ^^ du pur bonheur.
Fred s'excite toujours à la batterie, et c'est bien , c'est ainsi qu'on l'aime, puisse t'il nous refaire d'excellent solo à 4 bras.
Enfin Frank aime comme auparavant torturer les platines et pousser ces cris sombres et rauques lorsqu'il le faut.
Mais bon pour mieux comprendre, il n'y a rien de tel qu'écouter un de leurs morceaux, c'est pourquoi je vais mettre un lien en fin d'article.

Bref bref je le redis encore, du pur bonheur! Les Pleymo sont toujours au meilleur de leurs formes dans cette galette sombre, triste, et irréelle. Après l'avoir écouter plusieurs fois et s'en ètre imprégnier, on se dit vivement la tournée!! (le 16 mars 2007 à Reims!!!!)
(Disponible en magasin un coffret limité comprenant l'album Alphabet Prison, Le roman "Helmet Boy" de Marc Margiorri, et des bonus visuels (making of...etc)

Phantom , Alphabet Prison, PLEYMO

"Mes yeux vers le ciel, mon âme au soleil, je suis certains d'être en vie! Mes deux pieds sur terre, mon âme au soleil, j'ai l'instinct et l'envie!" L'instinct et l'envie, PLEYMO

 !CHOC! !CHOC! !CHOC! !CHOC! !CHOC!   

Adrenaline, Nouveau clip de PLEYMO

*spasmes compulsifs*

...Juste aligner les mots les uns apres les autres... oublier quelques peu le monde reel et partir vers un lieu se trouvant tres loin, et en meme temps juste au bout des doigts, ne demandant qu'à s'intercaller entre vous et votre vision... Mais aussi déposer sur du papier ou sur un écran ses sentiments, ses émotions, bonnes ou mauvaises, afin de se soulager du poids qu'elles peuvent parfois peser... S'exprimer... se souvenir... transmettre... Ce sont toutes des definition de cette chose unique à l'homme , si agréable à vivre, si indispensable, et qui est le constituant principal de ce blog dont j'ai encore du mal à comprendre l'existence... Ecrire est un des plus grand plaisir pour moi. Le pouvoir des mots peut parfois etre tellement grand...
J'ai cessé d'ecrire Gardien car je ne me sens pas encore assez mûr pour reussir à retranscrire sur papier mes idées et cette histoire aussi parfaitement que je l'imagine, mais je n'en abandonne pas pour autant l'écriture. Je la reprendrais certainement plus tard, quit à tout recommencer depuis le début pour faire mieux que la premiere fois.

Je remarque que mes idées et pensées ont trop souvent tendances à s'emmeler, à ne pas suivre la bonne direction, à arriver sans prévenir, à donner naissances à d'autres idées et pensées parfois très désagréables, et c'est pourquoi j'ai souvent du mal à être attentif aux choses qui m'entourent, aux gens qui me parlent, ou aux evenements proches de moi. Ecrire me permet d'aller dans un lieu où je n'ai pas à me soucier d'autres choses, où je n'ai pas à me concentrer pour écouter quelque chose ou pour suivre les cour des evenements.
C'est pour moi tellement magique de pouvoir ainsi poser noir sur blanc des pensées...je lis parfois des textes sur des blogs, dans des bouquins, qui m'impressionent reellement. Et je me dis dans ces cas la que mon "niveau" en écriture est vraiment faible, mais en meme temps ils me motivent à continuer d'écrire, car je me rend compte que c'est quelque chose que j'aime, que j'ai toujours aimé.

La seule chose qui me bloque souvent lorsque j'ai envie de pianoter, ou de sortir un crayon, c'est cette peur de ne pas reussir à transmettre aussi parfaitement que je l'aimerais ce que je ressens, ou ce que j'ai vécu. Mais ceci rejoins plus haut ce que j'ai dit sur Gardien, et en y reflechissant je pense que c'est peut-etre en meme temps un syndrome de cet amour que j'ai pour l'ecriture... Comme lorsque l'on ose pas regarder ni toucher celle ou celui que l'on aime en secret alors qu'on en a terriblement envie...

Je crois que s'il y a bien quelque chose qui différencie l'homme de l'animal, en plus de sa capacité à réver, c'est le don qu'il a de pouvoir maitriser la plume (qu'elle soit informatique ou non ^^).

Enfin sur ce, je ne vais pas déblatérer la dessus trop longtemps, c'était juste un petit interlude que je devais faire à un moment ou un autre... et dont la création a certainement été déclenché par un manque d'étalage d'encre. De plus, j'avais besoin de je n'sais pas...rendre hommage à l'écriture. Je pourrais en dire tellement sur ce sujet, mais cela ne serait jamais assez pour moi, et je sais qu'à tout les coups, lorsque j'appuirais sur "poster & publier" j'aurais envie de retourner éditer ce post pour le modifier. Donc autant m'arréter la ^^

AqME, parce que c'est si agréablement sombre
AqME, parce que je me retrouve tellement dans leurs chansons
AqME, parce que c'est tellement humain
AqME, parce cela m'aide et me rassure
AqME, parce qu'ils représentent pour moi une echappatoire
AqME, parce que c'est parfois si difficile de fermer les yeux le soir
AqME, parce que leur musique est unique
AqME, parce qu'ils me permettent d'expulser violemment tout ce qui m'obsede
AqME, parce que c'est AqME
AqME, parce que c'est si difficile à décrire...

Live acoustique fnac, Tout à un détail pres, AqME

Tout à un detail pres
envoyé par MadE_NV